Good Morning Impact


Événement communautaire
good morning impact

GMI #01 le 21/11/2023
Vivantes ! Ôde à la biodiversité.

C’était le premier évènement des Napoleons dédié exclusivement aux femmes à impact, qui a réuni un panel d’intervenantes exceptionnelles :  Lucile Schmid (la Fabrique écologique), Stacy Algrain (RCF Radio), Magdaleine Pertusier (Domaine Costil) autour de notre Queen modératrice Caroline Blaes sur le thème de la Biodiversité et du Vivant.

Pour commencer, quelques mots sur le lieu du rdv : la Galerie Larock-Granoff qui est la plus ancienne galerie de Paris, engagée et dirigée par la 4e génération de la famille Larock.

Nous sommes honorées de pouvoir nous réunir dans cet écrin d’art et de beauté qui invite à l’inspiration et à la rencontre.

Nous souhaitons questionner, confronter nos rapports : Hommes – entreprise – démocratie – biodiversité.

C’est le Vivant qui nous lie. En tant qu’entrepreneurs du vivant, nous nous devons de faire perdurer ce lien pour retrouver un équilibre tant individuel que collectif. L’éducation, l’émerveillement, la transmission sont les clés de la restauration de ce commun, car La Nature est à nous tous.

Le Vivant est complexe, il faut s’en inspirer. Si l’on insuffle de l’élan et de la réciprocité, un nouveau récit est possible, à travers de nouveaux modes de discussion. Il faut intégrer le savoir et la recherche aux prises de décision pour atteindre la transformation des rôles sociaux.

L’écologie peut transformer l’anthropologie et la sociologie du pouvoir.

GMI #02 le 19/12/2023
Générations des(enchantées) : faire société entre jeunes et ainé.es.

Pour ce deuxième évènement des Napoleons dédié exclusivement aux femmes à impact, nous avons choisi la thématique : Générations des(enchantées) : faire société entre jeunes et ainé.es.

Conversation introduite par Caroline Blaes (notre Queen modératrice) et ses invitées : Magali Monsavoir (Docteure en sociologie et directrice conseil pour l’Institut Viavoice), Claire Pétreault (les Pépites Vertes) et Charlotte Montpezat (Les Flamboyantes).

Encore une fois, la Galerie Larock-Granoff nous fait le plaisir de nous accueillir, mettant en lumière la superbe expo de Jean Messagier. C’est donc dans ces tourbillons de couleur que le sujet intergénérationnel est lancé !

Le défi est de taille : Créer du lien entre les générations pour générer du commun.

Nous, les femmes, sommes victimes du cloisonnement, des stéréotypes, de l’âgisme et du sexisme. Il n’y a rien de plus contre-productif que le clash des générations. C’est au sein de l’Entreprise, du lieu de travail qu’ont lieu les échanges et les interactions.

À partir de 45 ans, les femmes sont invisibilisées dans les médias, alors que c’est l’âge où elles pourraient prendre de nouvelles responsabilités politiques et économiques.

La jeunesse est plurielle et n’arrive plus à se projeter dans un avenir familial, mais plutôt communautaire. 

Les réseaux sociaux, le digital incarnent un lien possible entre les générations. Mais la vraie question réside dans le rôle que chacune souhaite jouer, en dehors de toute injonction.

La sororité intergénérationnelle est possible si elle est vectrice de confiance, d’écoute et de partage. Sortons de l’individualisme et allons de l’avant en prenant la parole quand on en a l’opportunité pour avoir de l’impact ensemble, comme ce matin !

GMI #03 le 23/01/2024
Femmes & Argent : parlons cash !

Pour ce troisième évènement des Napoleons dédié exclusivement aux femmes à impact, nous avons voulu Parler Cash ! En explorant le thème des Femmes et l’argent Cette fois, notre Queen modératrice Caroline Blaes a reçu Héloïse Bolle (fondatrice d’Oseille et Cie, conseil en patrimoine et éducation financière), Lucile Quillet (journaliste, coach, autrice du livre « Le prix à payer –  ce que le couple hétéro coûte aux femmes ») et Erell Tassin (Cofondatrice de l’app My Fenix – pour apprendre aux femmes à investir) dans l’écrin de la magnifique et historique de la Galerie Larock- Granoff.

Il y a deux catégories de femmes : celles qui osent parler d’argent et celles qui n’osent pas. 

Le rapport des femmes à l’argent est paradoxal, car l’argent reste considéré comme un attribut masculin de virilité, alors que les femmes sont plutôt dans le « care ». C’est le cadre règlementaire et légal qui a gardé les femmes à l’écart des milieux financiers. 

Et contrairement aux idées reçues, l’institution du mariage est protecteur de la femme. « C’est le travail gratuit des femmes qui entretient la société et les hommes. Il existe un manque à gagner perpétuel ! »

C’est un sujet privé et politique, un véritable enjeu de justice ! 

Nous avons évoqué ensuite les violences économiques qui représentent la lente et insidieuse dépossession du pouvoir économique des femmes. Les discriminations ont lieu dès l’éducation et se poursuivent dans le monde du travail. Il faudrait déconjugaliser certaines aides sociales pour faire disparaître la notion de recevabilité des femmes envers les hommes.

La solution passe par la formation financière. L’investissement passe par la connaissance de soi.

En conclusion : restons donc curieuses et à l’affût !